Close Menu
Fund Focus News
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Trending
    • Using a lump sum calculator before investing in mutual funds can help you avoid these three mistakes
    • Trust deed signed for new Midland Bank-sponsored mutual funds
    • NBA legend Kevin Durant acquires minority stake in Paris Saint-Germain, expands partnership with Qatar Sports Investments | NBA News
    • US judge says Trump unlawfully axed more than $2 billion in Harvard funds
    • A Fidelity Fund Misses Out on Soaring Bank Stocks
    • Crux now facilitating tax and preferred equity investments for clean energy projects
    • Which States Are Stepping Up?| National Catholic Register
    • Positive results for Thrift Saving Plan funds in August
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Fund Focus News
    • Home
    • Bonds
    • ETFs
    • Funds
    • Investments
    • Mutual Funds
    • Property Investments
    • SIP
    Fund Focus News
    Home»Bonds»Afrique News – La Presse de Tunisie
    Bonds

    Afrique News – La Presse de Tunisie

    March 31, 2025


    Obligations vertes
    L’Afrique ne capte que 0,3% des fonds mondiaux

    Les émissions d’obligations vertes en Afrique ont atteint un montant cumulé de 9,6 milliards de dollars, mais l’énorme potentiel de ce segment du marché de la dette dédié au financement des projets « verts » demeure largement inexploité sur le continent, selon un rapport publié par Financial Sector Deepening Africa (FSD Africa), une agence de développement financée par le gouvernement britannique.

    Intitulé « Impact of Green Bonds in Africa », le rapport rappelle que les premières obligations vertes en Afrique verte ont été émises en 2013 par la Banque africaine de développement (BAD). Depuis, le marché africain de ce type de titres de dette destiné à financer les projets environnementaux, les énergies propres, les transports en commun à faibles émissions et d’autres projets sobres en carbone s’est développé pour atteindre 76 émissions réalisées par 40 entités, y compris des institutions financières multilatérales, des gouvernements et des sociétés (banques et entreprises). Ces émissions restent cependant très concentrées, l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Maroc, l’Egypte et la BAD accaparant 91 % du total des opérations répertoriées.

    Actuellement, l’Afrique représente moins de 1 % du nombre des émissions mondiales de « Green bonds » et seulement 0,3% de la valeur totale des fonds mobilisés grâce à ces émissions. Durant la dernière décennie, les émissions d’obligations vertes sur le continent ont augmenté à un taux de croissance annuel composé (Tcac) de 20%, un rythme beaucoup plus lent que ceux de l’Asie-Pacifique et de l’Amérique latine, où les émissions ont enregistré des progressions respectives de 70% et 43 % au cours de la même période.

    Les émetteurs souverains et les institutions multilatérales ont donné le coup d’envoi du marché des obligations vertes sur le continent, et ont été à l’origine de la quasi-totalité des opérations durant les cinq années qui ont suivi la première émission de la BAD. Une fois que ce type de titres de dette a fait ses preuves, les entreprises et les banques ont fait des incursions remarquables sur le marché, à tel point qu’elles ont représenté plus de 60 % de la valeur totale des émissions au cours des cinq dernières années.

    A l’échelle continentale, les obligations vertes financent principalement des projets à objectif mixte (atténuation du changement climatique et adaptation à ses conséquences) et des projets d’atténuation. 

    Finance
    Une nouvelle place de marché pour l’échange de devises 

    L’Afrique a fait un grand pas vers l’intégration financière avec le lancement de l’Africa Currency Marketplace par le Système panafricain de paiement et de règlement (Papss). Cette plateforme devrait faciliter les échanges directs de devises à travers le continent, réduisant ainsi la dépendance à l’égard du dollar américain et favorisant l’émergence d’un marché des capitaux africain unifié.

    Ce marché des devises africain pourrait améliorer la liquidité et stabiliser les devises sur les marchés africains. La mise en œuvre d’un tel système, nécessite une infrastructure financière solide et un alignement réglementaire entre les nations participantes.

    L’initiative pourrait également servir de catalyseur pour l’établissement d’un marché des capitaux africain unifié. 

    « Ennova »
    L’IA au service des entrepreneurs

    La BAD a dévoilé récemment son Laboratoire de l’innovation et de l’entrepreneuriat, baptisé « Ennova ». Cette plateforme met en relation des entrepreneurs, des organisations de soutien aux entreprises, des établissements d’enseignement et des investisseurs de toute l’Afrique. « Ennova » est conçu dans le cadre d’une stratégie plus large visant à améliorer le développement des compétences et les opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes africaines, précise Hendrina Chalwe Doroba, de la BAD. 

    Entre autres fonctionnalités, « Ennova » est constitué d’un répertoire de plus de 1 300 organisations de soutien aux entreprises à travers l’Afrique, de 265 ressources professionnelles présentant des opportunités de financement et de formation, des fonctionnalités de réseautage pour faciliter la collaboration, d’un microsite présentant la série de livres blancs de la BAD sur l’entrepreneuriat et le libre-échange.

    BAD
    Soutenir les petits agriculteurs

    La BAD a annoncé récemment son intention de lancer une facilité de 500 millions de dollars destinée à débloquer dix milliards de dollars de financement pour les petits exploitants agricoles et les petites entreprises agro-industrielles en Afrique. 

    Cette facilité déploiera de multiples instruments financiers, notamment des garanties de crédit commercial, des mécanismes de financement mixte et des incitations afin de réduire les coûts de transaction élevés liés aux services fournis aux entreprises, le tout complété par une assistance technique.

    La BAD a appelé à une action mondiale : « Ensemble, libérons le potentiel de l’agriculture en Afrique. Faisons de l’Afrique le grenier du monde. Et ensemble, nourrissons l’Afrique avec fierté ! »

    Faut-il savoir que les engagements financiers des partenaires du développement sont passés de 30 milliards dollars à 72 milliards dollars en moins d’un an. La Banque a approuvé 77 projets d’une valeur de 3,9 milliards $ pour soutenir la mise en œuvre des Pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture dans 32 pays, avec un montant supplémentaire de 1,72 milliard $ prévu cette année.

    Par ailleurs, plusieurs initiatives majeures ont été prises par la banque, comme le programme « Technologies pour la transformation de l’agriculture africaine », « la Facilité africaine de production alimentaire d’urgence », « les Zones spéciales de transformation agro-industrielle », le programme « Afawa » à destination des femmes, et le Mécanisme africain de financement du développement des engrais.

    Il n’en reste pas moins que les défis sont nombreux : seuls 6% des petits exploitants agricoles africains ont accès au crédit et moins de 20 % d’entre eux utilisent des semences améliorées. Les institutions financières considèrent souvent les petits exploitants agricoles comme des emprunteurs à haut risque en raison de la variabilité du climat et de l’absence de garanties. Les prêts bancaires au secteur agricole restent faibles, représentant moins de 5 % du total des portefeuilles de prêts dans de nombreux pays africains.

    Marchés énergétiques en Afrique du Nord
    Attrayants pour les acteurs mondiaux

    L’Afrique du Nord est depuis longtemps un acteur clé dans le domaine de l’énergie mondiale. Son rôle est à développer à mesure que la région progresse dans les domaines du pétrole et du gaz, de l’hydrogène et des énergies renouvelables. Tel est le constat de la Chambre africaine de l’Énergie (AEC). De l’exploration et de la production aux opportunités d’investissement innovantes, le paysage énergétique de l’Afrique du Nord se caractérise par des marchés matures et des marchés pionniers qui attirent les acteurs mondiaux.

    La Libye, en l’occurrence, a enregistré un renouveau dans le domaine de l’exploration et de la production, avec des activités en cours de réalisation dans les bassins de Ghadames, Syrte et Murzuq, ainsi qu’un prochain cycle d’octroi de licences pour 22 blocs qui vise à attirer les compagnies pétrolières internationales vers ses blocs inexplorés offshore et onshore. La National Oil Corporation fait avancer 45 projets de construction et de rénovation, dans le but de porter la production à 2 millions de milliards de barils par jour.

    En Algérie, le gouvernement investit 50 milliards de dollars dans des projets pétroliers et gaziers jusqu’en 2027 afin de stimuler la production d’actifs phares tels que le champ de Hassi R’Mel et de mettre en service de nouvelles capacités. Le pays vise à porter sa production annuelle de gaz à 200 milliards de mètres cubes au cours des cinq prochaines années et à atteindre 1,2 million de barils par jour en 2025, grâce à sa dernière série d’octrois de licences onshore et à la récupération assistée du pétrole dans les champs historiques.

    Selon les experts de l’AEC, l’Algérie se positionne comme un pionnier de l’énergie hydrogène, en étant le fer de lance du projet d’hydrogène vert du corridor SoutH2 en partenariat avec des acteurs européens, qui réaffectera les gazoducs pour transporter de l’hydrogène vert vers l’Europe. Grâce à sa situation stratégique et à ses ressources abondantes, l’Algérie vise à devenir un acteur mondial clé de l’hydrogène, offrant d’importantes opportunités d’investissement dans les technologies émergentes d’énergie verte.

    Pour sa part, l’Égypte enregistre une croissance significative dans le pétrole et le gaz, avec de nouvelles opportunités de licences et des efforts de production accrus. Le dernier cycle de licences propose 13 blocs d’exploration et de production dans des régions clés telles que la mer Méditerranée et le delta du Nil, dans le but de stimuler l’exploration et d’attirer les investissements internationaux. Au cours de l’exercice 2024-2025, l’Égypte lance plusieurs projets, dont sept puits d’exploration et cinq initiatives de développement, avec des entreprises majeures. En 2025, Eni prévoit de forer deux puits de développement sur le champ gazier phare d’Égypte, Zohr, qui représentait autrefois jusqu’à 40 % de la production de gaz du pays. 

    Enfin, le Maroc affiche une transformation importante, signale l’AEC : le pays diversifie son mix énergétique, en mettant fortement l’accent sur le gaz et les énergies renouvelables. Le gazoduc Nigeria-Maroc, un projet majeur de plus de 5 600 kilomètres, devrait fournir du gaz naturel à plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et du Nord, les premiers appels d’offres devant être lancés cette année.

    Parallèlement, le Maroc promet des investissements substantiels dans les énergies propres, notamment six projets d’hydrogène vert d’un montant total de 32,5 milliards $, et prévoit d’investir 3 milliards $ dans son réseau électrique national, d’ici 2030. Avec l’objectif de produire 52% de son électricité à partir d’énergies renouvelables à cet horizon, et d’accueillir l’une des plus grandes centrales solaires à concentration au monde, le Maroc offre d’importantes opportunités d’investissement dans les énergies propres.

    « Avec ses vastes ressources naturelles, ses développements d’infrastructures en cours et ses objectifs ambitieux en matière d’énergies renouvelables, l’Afrique du Nord est prête à jouer un rôle central dans l’avenir de l’énergie mondiale tout en étant pionnière dans une stratégie de développement équilibrée entre les énergies fossiles et les énergies renouvelables pour le monde », commente Ore Onagbesan, directrice de programme, African Energy Week. Laquelle prépare la grande semaine AEW 2025 : Invest in African Energies, qui se tiendra au Cap (Afrique du Sud), du 29 septembre au 3 octobre 2025. L’événement mettra en lumière l’importance croissante de la région dans le mix énergétique mondial.



    Source link

    Share. Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Telegram Email

    Related Posts

    UK Government bond sell-off eases after Budget date confirmed

    September 3, 2025

    Global bonds under pressure as 30-year Treasury yield hits 5% – The Irish Times

    September 3, 2025

    UK long-term borrowing costs hit 27-year high as global bond markets wobble

    September 3, 2025
    Leave A Reply Cancel Reply

    Top Posts

    Using a lump sum calculator before investing in mutual funds can help you avoid these three mistakes

    September 3, 2025

    définition (Contrats à Impacts Social)

    October 12, 2016

    Qu’est-ce qu’un green bond ?

    December 7, 2017

    les cat’ bonds deviennent incontournables

    September 5, 2018
    Don't Miss
    Mutual Funds

    Using a lump sum calculator before investing in mutual funds can help you avoid these three mistakes

    September 3, 2025

    03 September 2025, 04:33 PM IST Learn how a lump sum calculator helps avoid common…

    Trust deed signed for new Midland Bank-sponsored mutual funds

    September 3, 2025

    NBA legend Kevin Durant acquires minority stake in Paris Saint-Germain, expands partnership with Qatar Sports Investments | NBA News

    September 3, 2025

    US judge says Trump unlawfully axed more than $2 billion in Harvard funds

    September 3, 2025
    Stay In Touch
    • Facebook
    • Twitter
    • Pinterest
    • Instagram
    • YouTube
    • Vimeo
    EDITOR'S PICK

    Telangana’s green energy policy attracts significant investments: Bhatti

    March 17, 2025

    Army eyes SIPS status for WV by next month

    August 18, 2024

    Ava Labs President John Wu ‘Very Positive’ on Ethereum ETFs – Here’s Why

    August 28, 2024
    Our Picks

    Using a lump sum calculator before investing in mutual funds can help you avoid these three mistakes

    September 3, 2025

    Trust deed signed for new Midland Bank-sponsored mutual funds

    September 3, 2025

    NBA legend Kevin Durant acquires minority stake in Paris Saint-Germain, expands partnership with Qatar Sports Investments | NBA News

    September 3, 2025
    Most Popular

    🔥Juve target Chukwuemeka, Inter raise funds, Elmas bid in play 🤑

    August 20, 2025

    ₹10,000 monthly SIP in this debt mutual fund has grown to over ₹70 lakh in 23 years

    June 13, 2025

    ₹1 lakh investment in these 2 ELSS mutual funds at launch would have grown to over ₹5 lakh. Check details

    April 25, 2025
    © 2025 Fund Focus News
    • Get In Touch
    • Privacy Policy
    • Terms and Conditions

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.